Informations autour de l'alimentation

Edu.

.

.

.

merci il y a des choses très intéressante dans ce que tu as écrit

Merci Lecat......mais il y a une chose TRES importante à ne pas oublier ...l'oeil.

Justement Joël, l'oeil c'est bien ce que souligne W. Martin-Rosset lorsqu'il évoque que d'un cheval de même catégorie (âge, sexe, utilisation) ses besoins nutritionnels pourront être beaucoup plus ou moins importants.

De toute manière je pense que lorsque l'on a plusieurs chevaux à la maison, nous finissons, une fois les règles de base acquises, par nous fier davantage à ce que notre oeil et notre instinct nous dictent.

Il n'empêche que des informations comme le fait que le foin ne puisse suffire à un cheval compétiteur (et pense à l'endurance) je l'ignorais. Un aspect extérieur ne suffit là pas à nous renseigner sur les carences que cela créée au fil du temps.

D'ailleurs pour mes chevaux je constate que je les complémente à la mauvaise saison de manière identique, alors que différents (race, corpulence) et qu'ils ont tous bel état.

J'ai simplifié mes procédures depuis pas mal d'années.

Merci, c'est très sympa !
J'ai bien aimé le paragraphe sur l'acclimatation au froid.

Par contre, ne retiens pas ce qu'ils expliquent sur l'alimentation : "Afin de préserver l’équilibre comportemental du cheval confiné et un bon fonctionnement de son tube digestif, la proportion des fourrages dans l’alimentation ne peut pas être inférieure à 20 %."

On sait aujourd'hui que moins de 50% de fourrage chez un cheval confiné, c'est de la maltraitance. Le cheval développe des ulcères et des stéréotypies (tics du cheval)...
(5 kg de grain + 5 kg de fourrage, c'est courant en club).

Je suis déçue que l'IFCE laisse passer ça, alors même qu'ils organisent des conférences passionnantes sur les dernières études en éthologie scientifique.

Tant pis, on attend quand même la suite avec intérêt !

Justement Nicole, les 20% c'est le minimum vital.

Durant mes années de compétition j'ai changé plusieurs fois d'écurie et de souvenir les plis de foin distribués étaient très légers dans la majorité, après ça se payait, cher...

Et pourtant j'ai fait partie d'écurie plutôt haut de gamme.

Donc comme souvent on est ignorant, on ne s'en formalise pas, moi la première dans le passé.

Le souci c'est que la connaissance des propriétaires de centres est bien souvent axée sur la compétition ou l'apprentissage du cheval. C'est difficile de ne pas agir de manière empirique.

On reproduit ce qu'on a vu faire, ce qu'on a l'impression de convenir et c'est comme cela que l'on entretient de mauvaises procédures.

Cela ne se verra pas à court terme sur l'état des chevaux, puisqu'ils ne sont pas maltraités (de manière consciente).

L

.

C

.

E

C

.

(.

.